dimanche 24 juin 2018

La pluie s'invite au méchoui










La   pluie s’invite au méchoui…
           
            Samedi 16 juin, le soleil brille dans un ciel sans nuage …les anciens combattants ont le sourire …la journée promet d’être belle pour leur traditionnel méchoui …Et chacun s’active …
Les tables sont installées sous le grand barnum, les cuistots surveillent attentivement la cuisson du méchoui, le rosé est au frais …Tout va bien !
Une petite pause ‘casse-croûte’  s’impose …
Mais, peu à peu le ciel se couvre peu à peu  et de gros nuages noirs inquiètent les organisateurs qui ont juste le temps de protéger le ‘tourne –broche ‘, avant que de grosses gouttes comment à tomber !
Et, alors, là…on a eu droit à de belles averses orageuses …ça crépitait sous les toiles. Plus de peur que de mal, vingt minutes plus tard, le soleil était de nouveau là, faisant  disparaître  les dernières traces de l’orage …et renaître le sourire  sur les  lèvres  de tous.
Les convives ne tardèrent pas à arriver et à s’installer. Avant de commencer ‘les agapes ’, Maurice Boulez , notre président,  tenait à   remercier  toutes  les personnes présentes  à ce rendez-vous incontournable .IL adressait des remerciements particuliers au maire Jacques Rigaud et à son épouse , au maire adjoint Michel  Oudin et à son épouse  qui offrent  traditionnellement le champagne à tous les convives , et à la municipalité pour le  prêt du  matériel .
Et, coupe en main, il souhaitait à tous de passer une bonne journée !
 Comme d’habitude, chacun et chacune firent honneur aux plats servis, avec le sourire,   par les membres du bureau …
Rôtis  à  point, merguez, saucisses, méchoui …régalèrent nos convives !
De la bonne humeur, de l’amitié, du partage …l’ambiance était au beau fixe… la journée fut très agréable.
Un petit ‘couac’, on a oublié le café …qu’importe …on avait le ‘pousse’…
2018 fut un bon cru pour le méchoui…peut-être  un millésime pour 2019…mais ça, c’est une autre histoire !



dimanche 3 juin 2018

Une belle journée dans le nogentais


                                    Une belle journée dans le  Nogentais

Vendredi 18 mai, les anciens combattants et leurs amis se retrouvent sur le parking  du complexe sportif pour  passer ensemble une journée dans le Nogentais.
8h30…. Un car arrive …les passagers montent, s’installent, attachent les ceintures de sécurité …prêts pour le départ !...Non, on ne part pas …. Ce n’est pas le bon car, celui-ci, affrété par la Mairie, est là pour emmener les personnes âgées faire leurs courses à   Inter-marché …. Pas du tout le même programme !!!
« Tout le monde descend ! »
8 h45 …Un autre car arrive …c’est bien le nôtre !... On remonte, on  se réinstalle, on rattache les ceintures, …toujours dans la bonne humeur …en route pour Nogent !
Les langues vont bon train dans le car …le trajet semble court  et déjà, on aperçoit les fameux ‘nuages blancs ‘au-dessus  des tours  aéroréfrigérantes de 165 m de haut .Encore quelques kilomètres et nous voici sur le site, l’ensemble est assez impressionnant.
Après la visite du hall d’exposition du Centre d’Information du public, nous  entrons dans la salle des conférences pour une présentation du groupe EDF  et du principe de fonctionnement de la centrale. Avec beaucoup de professionnalisme, les guides répondent aux nombreuses  questions  des visiteurs très intéressés. C’est par la visite du simulateur de conduite, réplique exacte de la salle de commandement que se termine cette matinée très instructive.
Il était l’heure de se retrouver au restaurant pour une pause gourmande très appréciée.
D’autres richesses viennent également agrémenter la sous-préfecture de l’Aube : l’église  Saint-Laurent qui contient des sculptures d’artistes locaux tels que Paul Dubois ou Alfred Boucher, les moulins et surtout le Musée Camille Claudel.
Le musée Camille Claudel ouvres ses portes en mars  2017.C’est l’occasion de  rendre un digne hommage à cette artiste géniale née en 1864 à Fère –en- Tardenois .C’est Alfred Boucher qui lui fait  prendre conscience de ses dons exceptionnels .Puis en 1882, elle rencontre Auguste Rodin  qui dira d’elle « Je lui ai montré où trouvé de l’or, mais l’or qu’elle trouve est bien à elle.. ». Elle devient sa muse, sa maîtresse, sa collaboratrice …
Le parcours de la salle réservée à Camille Claudel est un florilège de 43 œuvres, sauvées  de peu, car la fougueuse Camille détruisit la plus grande partie de ses productions  avant d’être internée  en 1913  jusqu’à sa mort en 1943 après  30 années de  solitude   et de tristesse infinies. Ses restes ont été jetés à la fosse commune.
Si c’est à Nogent –sur- Seine, à l’emplacement même de la maison de l’artiste que ce nouvel établissement  a été érigé, ce n’est pas par hasard : cette commune était, autrefois, un vivier de sculpteurs. Outre Camille Claudel, Alfred Boucher,  Marius Ramus et Paul Dubois ont également vécu ici, entre les murs des typiques maisons de briques rouges parmi lesquelles le musée s’implante sans heurts.